la saison les spectacles

Du 1er au 2 déc.  20H30
Grand Théâtre
1h20

Résumé


Sinfonia Eroica, c’est d’abord un élan collectif. Ce sont ensuite des histoires d’hommes et de femmes. C’est enfin une célébration de la danse. Trente-deux ans après sa création, ce spectacle devenu un classique est à (re)découvrir absolument !

Des couples se font et se défont, des individualités se confrontent au groupe et le collectif ne cesse de se recomposer : c’est une humanité qui anime le plateau de toute son énergie vitale. En 2022, Michèle Anne De Mey ressent l’envie de « retourner aux choses de la vie auxquelles nous aspirons tous ». Après l’avoir créée en 1990, la chorégraphe monte à nouveau sa Sinfonia Eroica, pétrie des nouvelles relations qui nous animent aujourd’hui tout en restant intemporelle. La complicité entre ses interprètes irradie le public qui ne peut que chavirer face à leur plaisir de danser ensemble. Avec générosité, voire incandescence, les danseurs virtuoses se laissent traverser par toutes sortes d’émotions, à la (dé)mesure de La Symphonie Héroïque (la 3e Symphonie) de Ludwig van Beethoven (1770-1827).

Plus de 600 candidatures, 80 interprètes auditionnés et 9 artistes retenus au final (au lieu des 7 dans la version d’origine) : cette nouvelle Sinfonia Eroica est empreinte d’une vigueur inédite portée par des danseurs de tous horizons. Ils s’amusent – littéralement –, se cherchent, se trouvent, animés par une légèreté qui porte un nom : celui de la jeunesse. L’euphorie n’est jamais loin, même si quelques mouvements plus recueillis teintent parfois l’ensemble d’une certaine gravité. Mais la liberté intacte qui irrigue la pièce de Michèle Anne De Mey est propre à transcender tous les états d’âme en un spectacle tout simplement magique.

Résumé


Sinfonia Eroica, c’est d’abord un élan collectif. Ce sont ensuite des histoires d’hommes et de femmes. C’est enfin une célébration de la danse. Trente-deux ans après sa création, ce spectacle devenu un classique est à (re)découvrir absolument !

Des couples se font et se défont, des individualités se confrontent au groupe et le collectif ne cesse de se recomposer : c’est une humanité qui anime le plateau de toute son énergie vitale. En 2022, Michèle Anne De Mey ressent l’envie de « retourner aux choses de la vie auxquelles nous aspirons tous ». Après l’avoir créée en 1990, la chorégraphe monte à nouveau sa Sinfonia Eroica, pétrie des nouvelles relations qui nous animent aujourd’hui tout en restant intemporelle. La complicité entre ses interprètes irradie le public qui ne peut que chavirer face à leur plaisir de danser ensemble. Avec générosité, voire incandescence, les danseurs virtuoses se laissent traverser par toutes sortes d’émotions, à la (dé)mesure de La Symphonie Héroïque (la 3e Symphonie) de Ludwig van Beethoven (1770-1827).


Générique


Création Michèle Anne De Mey
Recréation et interprétation Rita Alves, Cassandre Cantillon, Csenger K. Szabo, Robson Ledesma, Alexandre Nadra, Eléonore Pinet-Bodin, Margarida Ramalhete, Violette Wanty, Chetan Yeragera.
Musique Mozart Bastien und Bastienne ouverture, Beethoven Symphonie "L'Héroïque", contredanse n°7 Eroïca variations, J. Hendrix Passo doble
Chorégraphe Michel Thuns
Assistanat chorégraphie, répétitions Eléonore Valere Lachky et Sandy Williams
Assistanat et conseil musical Thierry De Mey
Costumes Isabelle Lhoas
Couturière Perinne Verschuren
Eclairage Bernard Freymann
Lumière Simon Siegmann
Adaptations techniques de la scénographie et régie plateau Ivan Fox
Régie Lumière Yann Hoogstoel
Régie Son Boris Cekevda
Coordination auditions Manuela Rastaldi
Administration/Production Hélène Dubois
Communication Marie Tirtiaux
Responsable technique Benjamin Dandoy
Remerciements Georges-Elie Octors, Ultima Vez et KVS

Production Astragales ASBL, Temal Productions

Générique


Création Michèle Anne De Mey
Recréation et interprétation Rita Alves, Cassandre Cantillon, Csenger K. Szabo, Robson Ledesma, Alexandre Nadra, Eléonore Pinet-Bodin, Margarida Ramalhete, Violette Wanty, Chetan Yeragera.
Musique Mozart Bastien und Bastienne ouverture, Beethoven Symphonie "L'Héroïque", contredanse n°7 Eroïca variations, J. Hendrix Passo doble
Chorégraphe Michel Thuns
Assistanat chorégraphie, répétitions Eléonore Valere Lachky et Sandy Williams
Assistanat et conseil musical Thierry De Mey
Costumes Isabelle Lhoas
Couturière Perinne Verschuren
Eclairage Bernard Freymann
Lumière Simon Siegmann
Adaptations techniques de la scénographie et régie plateau Ivan Fox
Régie Lumière Yann Hoogstoel
Régie Son Boris Cekevda
Coordination auditions Manuela Rastaldi
Administration/Production Hélène Dubois
Communication Marie Tirtiaux
Responsable technique Benjamin Dandoy
Remerciements Georges-Elie Octors, Ultima Vez et KVS

Production Astragales ASBL, Temal Productions

En savoir plus


Chorégraphe belge, Michèle Anne De Mey (Bruxelles – 1959) étudie de 1976 à 1979 à Mudra, l’école fondée par Maurice Béjart à Bruxelles. Elle signe sa première chorégraphie Passé Simple en 1981 et donne une nouvelle orientation à la danse contemporaine qu’elle poursuivra avec les duos Ballatum (1984) et Face à Face (1986).

En 1983, elle est l’une des quatre membres fondateurs de la compagnie Rosas. Elle collabore durant 6 ans à la création et à l’interprétation de plusieurs pièces d’Anne Teresa De Keersmaeker dont Fase (1982), Rosas danst Rosas (1983), Elena’s Aria (1984) et Ottone, ottone (1988). Bien qu’une attention particulière soit toujours portée au lien entre la danse et la musique, la structure chorégraphique des créations de Michèle Anne De Mey nourrit un contenu dramaturgique fort et place le danseur dans un rapport scène/public spécifique et novateur.

En 1990, à l’occasion de la création de Sinfonia Eroica, elle fonde sa propre compagnie Astragale. Viennent ensuite une trentaine de créations rencontrant chacune un succès international.

Son travail chorégraphique est le point de départ de la réalisation de plusieurs films dont Love Sonnets et 21 Études à danser de Thierry De Mey, Face à Face d’Eric Pauwels. Créant son univers chorégraphique à partir de musiques fortes et de compositeurs de renom, elle travaille également avec Robert Wyatt et Jonathan Harvey. Depuis plusieurs années, elle développe des collaborations étroites avec d’autres artistes comme le plasticien – scénographe Simon Siegmann, Stéphane Olivier, membre du collectif Transquinquennal et Grégory Grosjean avec qui elle signe le duo 12 Easy Waltzes. En 2006, elle recrée Sinfonia Eroica, une de ses pièces phares des années 90, une parade éclatante, insolente et solaire sur fond de symphonie héroïque de Beethoven. Depuis lors, la pièce s’est produite plus de 100 fois, partout dans le monde. En 2007 elle crée P.L.U.G. sur la mécanique de l’accouplement et en 2009, elle présente le solo Koma, dans le cadre du festival Made in Korea initié par BOZAR.

En 2022, elle présente son spectacle Sinfonia Eroica à l’Opéra Royal de Wallonie-Liège. Couronné de succès dès sa création en 1990, ce spectacle est devenu un classique de la danse contemporaine. Véritable appel à la danse, il prend une dimension nouvelle, accompagné par l’Orchestre de l’Opéra Royal de Wallonie-Liège, sous la direction d’Ayrton Desimpelaere.

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Chorégraphe belge, Michèle Anne De Mey (Bruxelles – 1959) étudie de 1976 à 1979 à Mudra, l’école fondée par Maurice Béjart à Bruxelles. Elle signe sa première chorégraphie Passé Simple en 1981 et donne une nouvelle orientation à la danse contemporaine qu’elle poursuivra avec les duos Ballatum (1984) et Face à Face (1986).

En 1983, elle est l’une des quatre membres fondateurs de la compagnie Rosas. Elle collabore durant 6 ans à la création et à l’interprétation de plusieurs pièces d’Anne Teresa De Keersmaeker dont Fase (1982), Rosas danst Rosas (1983), Elena’s Aria (1984) et Ottone, ottone (1988). Bien qu’une attention particulière soit toujours portée au lien entre la danse et la musique, la structure chorégraphique des créations de Michèle Anne De Mey nourrit un contenu dramaturgique fort et place le danseur dans un rapport scène/public spécifique et novateur.

En 1990, à l’occasion de la création de Sinfonia Eroica, elle fonde sa propre compagnie Astragale. Viennent ensuite une trentaine de créations rencontrant chacune un succès international.

Son travail chorégraphique est le point de départ de la réalisation de plusieurs films dont Love Sonnets et 21 Études à danser de Thierry De Mey, Face à Face d’Eric Pauwels. Créant son univers chorégraphique à partir de musiques fortes et de compositeurs de renom, elle travaille également avec Robert Wyatt et Jonathan Harvey. Depuis plusieurs années, elle développe des collaborations étroites avec d’autres artistes comme le plasticien – scénographe Simon Siegmann, Stéphane Olivier, membre du collectif Transquinquennal et Grégory Grosjean avec qui elle signe le duo 12 Easy Waltzes. En 2006, elle recrée Sinfonia Eroica, une de ses pièces phares des années 90, une parade éclatante, insolente et solaire sur fond de symphonie héroïque de Beethoven. Depuis lors, la pièce s’est produite plus de 100 fois, partout dans le monde. En 2007 elle crée P.L.U.G. sur la mécanique de l’accouplement et en 2009, elle présente le solo Koma, dans le cadre du festival Made in Korea initié par BOZAR.

En 2022, elle présente son spectacle Sinfonia Eroica à l’Opéra Royal de Wallonie-Liège. Couronné de succès dès sa création en 1990, ce spectacle est devenu un classique de la danse contemporaine. Véritable appel à la danse, il prend une dimension nouvelle, accompagné par l’Orchestre de l’Opéra Royal de Wallonie-Liège, sous la direction d’Ayrton Desimpelaere.


Grand Théâtre
1h20

  • ven. 01 décembre
    20H30
  • sam. 02 décembre
    20H30

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