la saison les spectacles

Résumé


Non seulement le jazz n’est pas mort, mais voilà qu’il ressuscite la musique du légendaire groupe californien Grateful Dead. Les frères Lionel et Stéphane Belmondo, entourés d’instrumentistes de haute volée, s’emparent d’un répertoire culte de l’âge d’or du rock. Cela donne DeadJazz : un hommage jubilatoire, vibrant, vivant !

Groupe phare du rock psychédélique, Grateful Dead (1965-1995) a forgé sa légende sur scène, lors de concerts où les improvisations héroïques de ses musiciens abolissaient toutes les frontières musicales, notamment celle entre le rock et le jazz. Il n’est donc pas si étonnant que les frères Belmondo, entourés de quatre autres virtuoses (Éric Legnini, Laurent Fickelson, Thomas Bramerie, Dré Pallemaerts) – eux-mêmes pétris de multiples influences musicales – revisitent les créations d’anthologie du groupe californien. Deadjazz célèbre l’inépuisable inventivité de ses modèles, à travers des solos qui traduisent autant l’audace des morceaux d’origine que la maestria des interprètes d’aujourd’hui. Un véritable trip musical, intense et ébouriffant !

Puisant dans le répertoire des dix premières années du groupe, cette aventure collective retourne aux sources d’un jazz électrisé par les rythmes du rock, ou plutôt d’un rock qui s’est émancipé de la chanson par l’improvisation. Les deux claviers en miroir d’Eric Legnini et de Laurent Fickelson rappellent les deux guitares de Grateful Dead, tandis que la contrebasse de Thomas Bramerie et la batterie de Dré Pallemaerts posent avec précision les bases de chaque morceau, sur lesquels les vents de Lionel et Stéphane Belmondo rugissent avec fougue. Bien au-delà des nombreux deadheads – ainsi été surnommés les inconditionnels du groupe californien -, cette énergie séduira tous les amoureux d’une musique libre, vivante et aventureuse !

Résumé


Non seulement le jazz n’est pas mort, mais voilà qu’il ressuscite la musique du légendaire groupe californien Grateful Dead. Les frères Lionel et Stéphane Belmondo, entourés d’instrumentistes de haute volée, s’emparent d’un répertoire culte de l’âge d’or du rock. Cela donne DeadJazz : un hommage jubilatoire, vibrant, vivant !

Groupe phare du rock psychédélique, Grateful Dead (1965-1995) a forgé sa légende sur scène, lors de concerts où les improvisations héroïques de ses musiciens abolissaient toutes les frontières musicales, notamment celle entre le rock et le jazz. Il n’est donc pas si étonnant que les frères Belmondo, entourés de quatre autres virtuoses (Éric Legnini, Laurent Fickelson, Thomas Bramerie, Dré Pallemaerts) – eux-mêmes pétris de multiples influences musicales – revisitent les créations d’anthologie du groupe californien. Deadjazz célèbre l’inépuisable inventivité de ses modèles, à travers des solos qui traduisent autant l’audace des morceaux d’origine que la maestria des interprètes d’aujourd’hui. Un véritable trip musical, intense et ébouriffant !


Générique


Avec Lionel Belmondo saxophone ténor, saxophone soprano, flûte Stéphane Belmondo trompette, bugle, Eric Legnini Fender Rhodes, Laurent Fickelson piano, orgue Farfisa, Thomas Bramerie contrebasse, Dré Pallemaerts batterie.
Répertoire Grateful Dead
Arrangements Lionel Belmondo

Production et Booking LOOP Productions, Ronan Palud 

Générique


Avec Lionel Belmondo saxophone ténor, saxophone soprano, flûte Stéphane Belmondo trompette, bugle, Eric Legnini Fender Rhodes, Laurent Fickelson piano, orgue Farfisa, Thomas Bramerie contrebasse, Dré Pallemaerts batterie.
Répertoire Grateful Dead
Arrangements Lionel Belmondo

Production et Booking LOOP Productions, Ronan Palud 

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Lionel Belmondo est un saxophoniste, flutiste, compositeur et arrangeur français de jazz. Il est également le frère de Stéphane Belmondo. Parmi ses influences musicales, on compte notamment les saxophonistes John Coltrane, Yusef Lateef et Dexter Gordon. C’est en 1993 que les deux frères Belmondo décident de former un quintet sous leur nom et pour lequel Lionel décide de se consacrer exclusivement. Le groupe enregistre même cette année-là son premier album. Désormais internationalement reconnu, Lionel Belmondo continue d'enrichir sa discographie, ne cessant de développer son jeu lyrique et mélodique. 


Stéphane Belmondo est considéré comme l'un des meilleurs trompettistes de sa génération. Seul ou avec son frère Lionel Belmondo au saxophone, il a joué avec quelques grands noms du jazz et de la pop (Chet Baker, Dee Dee Bridgewater, Yusef Lateef, Milton Nascimento...), et réalisé des albums en quintette. En 2003, il rend un hommage appuyé à Stevie Wonder dans l'album solo Wonderland, puis convie le chanteur brésilien Milton Nascimento à un album à six mains avec son frère en 2008. Trois ans plus tard, The Same As It Never Was Before impose le style de ce souffleur invétéré qui, en 2013, met en avant le regretté Donny Hathaway dans Ever After, sur lequel chantent Gregory Porter et Sandra Nkaké. Après un détour concocté en famille, matérialisé par l'album Mediterranean Sounds (2013), survient un enregistrement consacré à Chet Baker, Love for Chet (2015). L'année suivante, il retrouve le pianiste Jacky Terrasson pour l'album en duo Mother. Stéphane Belmondo totalise trois Victoires du jazz, acquises en 2004, 2005 et 2006, ainsi qu'un Prix Django Reinhardt attribué pour l'album For All Friends (1994). 

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Lionel Belmondo est un saxophoniste, flutiste, compositeur et arrangeur français de jazz. Il est également le frère de Stéphane Belmondo. Parmi ses influences musicales, on compte notamment les saxophonistes John Coltrane, Yusef Lateef et Dexter Gordon. C’est en 1993 que les deux frères Belmondo décident de former un quintet sous leur nom et pour lequel Lionel décide de se consacrer exclusivement. Le groupe enregistre même cette année-là son premier album. Désormais internationalement reconnu, Lionel Belmondo continue d'enrichir sa discographie, ne cessant de développer son jeu lyrique et mélodique. 


Stéphane Belmondo est considéré comme l'un des meilleurs trompettistes de sa génération. Seul ou avec son frère Lionel Belmondo au saxophone, il a joué avec quelques grands noms du jazz et de la pop (Chet Baker, Dee Dee Bridgewater, Yusef Lateef, Milton Nascimento...), et réalisé des albums en quintette. En 2003, il rend un hommage appuyé à Stevie Wonder dans l'album solo Wonderland, puis convie le chanteur brésilien Milton Nascimento à un album à six mains avec son frère en 2008. Trois ans plus tard, The Same As It Never Was Before impose le style de ce souffleur invétéré qui, en 2013, met en avant le regretté Donny Hathaway dans Ever After, sur lequel chantent Gregory Porter et Sandra Nkaké. Après un détour concocté en famille, matérialisé par l'album Mediterranean Sounds (2013), survient un enregistrement consacré à Chet Baker, Love for Chet (2015). L'année suivante, il retrouve le pianiste Jacky Terrasson pour l'album en duo Mother. Stéphane Belmondo totalise trois Victoires du jazz, acquises en 2004, 2005 et 2006, ainsi qu'un Prix Django Reinhardt attribué pour l'album For All Friends (1994). 



  • mar. 21 janvier
    20H30
En partenariat avec la direction de la culture de la Ville de Montigny-le -Bretonneux

Revue de presse

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