la saison les spectacles

12 au 14 déc.
durée 1h20

Résumé


Chaque nouveau spectacle de Joël Pommerat est un événement. En s’inspirant librement du classique de Marcel Pagnol, le grand maître poursuit son sillon intime et ausculte les conflits intérieurs qui nous rongent. Fruit d’un long travail théâtral entamé à la Maison Centrale d’Arles, un Marius bouleversant et empli d’humanité.

Tiraillé entre ses rêves d’ailleurs, la peur de décevoir son père et la crainte de perdre celle qu’il aime, Marius hésite à partir. De la pièce éponyme de Marcel Pagnol (1929), Joël Pommerat a conservé cette trame, la ville de Marseille et l’accent chantant, celui de ses comédiens. L’époque en revanche a changé, et le café d’origine fait aussi boulangerie. Issu d’un long processus initié à la Maison Centrale d’Arles, ce Marius doit son existence à l’implication hors du commun de ses interprètes, dont certains ont découvert le théâtre en milieu carcéral. Sous la direction – toujours au cordeau – de l’un des plus grands metteurs en scène de notre temps, le résultat transcende avec une rare justesse ces questions qui nous traversent tous : qu’est-ce que réussir sa vie ? Est-il possible de tout recommencer ?

L’engagement de chacun a eu raison des contraintes imposées par le cadre pénitentiaire dans lequel Joël Pommerat n’est pas « intervenu », mais dans lequel il a travaillé, avec une même exigence qu’à l’extérieur. Les séances de recherche et d’improvisation menées avec les comédiens leur ont permis de saisir la vérité de chaque personnage, de façonner leurs émotions avec précision. Métamorphosant du cœur au pique l’emblématique partie de cartes, l’écriture au plateau a introduit en filigrane les questions de la place des femmes et de la réussite sociale. Étoffée de ces enjeux contemporains, cette version intense de Marius n’en demeure pas moins intemporelle : elle nous bouleverse.

Résumé


Chaque nouveau spectacle de Joël Pommerat est un événement. En s’inspirant librement du classique de Marcel Pagnol, le grand maître poursuit son sillon intime et ausculte les conflits intérieurs qui nous rongent. Fruit d’un long travail théâtral entamé à la Maison Centrale d’Arles, un Marius bouleversant et empli d’humanité.

Tiraillé entre ses rêves d’ailleurs, la peur de décevoir son père et la crainte de perdre celle qu’il aime, Marius hésite à partir. De la pièce éponyme de Marcel Pagnol (1929), Joël Pommerat a conservé cette trame, la ville de Marseille et l’accent chantant, celui de ses comédiens. L’époque en revanche a changé, et le café d’origine fait aussi boulangerie. Issu d’un long processus initié à la Maison Centrale d’Arles, ce Marius doit son existence à l’implication hors du commun de ses interprètes, dont certains ont découvert le théâtre en milieu carcéral. Sous la direction – toujours au cordeau – de l’un des plus grands metteurs en scène de notre temps, le résultat transcende avec une rare justesse ces questions qui nous traversent tous : qu’est-ce que réussir sa vie ? Est-il possible de tout recommencer ?


Générique


Création théâtrale Joël Pommerat
Librement inspirée de Marius de Marcel Pagnol
En collaboration avec Caroline Guiela Nguyen et Jean Ruimi
Avec Damien Baudry le fada, Élise Douyère Fanny, Michel Galera Marius, Ange Melenyk Escartefigue, Redwane Rajel Piquoiseau, Jean Ruimi César, Bernard Traversa Panisse, Ludovic Velon le douanier
Scénographie, lumière Éric Soyer
Assistanat mise en scène Lucia Trotta et Guillaume Lambert
Direction technique Emmanuel Abate avec Thaïs Morel
Costumes Isabelle Deffin
Création sonore Philippe Perrin, François Leymarie
Renfort assistant David Charier
Régie son Philippe Perrin, Fany Schweitzer
Régie lumière Jean-Pierre Michel
Régie plateau Ludovic Velon
Construction décors Thomas Ramon - Artom
Accessoires Frédéric Bertrand
Avec l’accompagnement de Jérôme Guimon de l’association Ensuite

Production Compagnie Louis Brouillard / Coproduction MC93 – maison de la culture de Seine-Saint-Denis à Bobigny, La Coursive - Scène nationale de La Rochelle, le Festival d’Automne à Paris, le Théâtre de Brétigny-sur-Orge, Points-Communs, Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise, le Printemps des Comédiens / Avec le soutien du Théâtre de l'Agora - Scène nationale de l’Essonne / Ce spectacle n’aurait pas vu le jour sans le soutien logistique, financier et moral de ses partenaires précieux, qui ont permis les restitutions publiques en 2017 au sein de la Maison Centrale d’Arles malgré toutes les difficultés à surmonter : la Maison Centrale d’Arles, la compagnie Les Hommes Approximatifs, le Théâtre d'Arles - scène conventionnée art et création-nouvelles écritures, la Garance - Scène nationale de Cavaillon, Jean-Michel Grémillet, le SPIP 13, la Direction Interrégionale des Services Pénitentiaires PACA, la Direction et du personnel de la Maison Centrale, L’Équinoxe - Scène nationale de Châteauroux, le Printemps des Comédiens, la MC93 – Bobigny, le CNCDC de Châteauvallon - Scène nationale, La Coursive - Scène nationale de La Rochelle, le Théâtre Olympia - Centre dramatique national de Tours, Le Merlan - Scène nationale de Marseille, La Criée - Théâtre National de Marseille, le Théâtre de la Porte-Saint-Martin / Ce projet a été rendu possible grâce au soutien de la Fondation d’entreprise Hermès et de la Fondation E.C. ART POMARET

Générique


Création théâtrale Joël Pommerat
Librement inspirée de Marius de Marcel Pagnol
En collaboration avec Caroline Guiela Nguyen et Jean Ruimi
Avec Damien Baudry le fada, Élise Douyère Fanny, Michel Galera Marius, Ange Melenyk Escartefigue, Redwane Rajel Piquoiseau, Jean Ruimi César, Bernard Traversa Panisse, Ludovic Velon le douanier
Scénographie, lumière Éric Soyer
Assistanat mise en scène Lucia Trotta et Guillaume Lambert
Direction technique Emmanuel Abate avec Thaïs Morel
Costumes Isabelle Deffin
Création sonore Philippe Perrin, François Leymarie
Renfort assistant David Charier
Régie son Philippe Perrin, Fany Schweitzer
Régie lumière Jean-Pierre Michel
Régie plateau Ludovic Velon
Construction décors Thomas Ramon - Artom
Accessoires Frédéric Bertrand
Avec l’accompagnement de Jérôme Guimon de l’association Ensuite

Production Compagnie Louis Brouillard / Coproduction MC93 – maison de la culture de Seine-Saint-Denis à Bobigny, La Coursive - Scène nationale de La Rochelle, le Festival d’Automne à Paris, le Théâtre de Brétigny-sur-Orge, Points-Communs, Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise, le Printemps des Comédiens / Avec le soutien du Théâtre de l'Agora - Scène nationale de l’Essonne / Ce spectacle n’aurait pas vu le jour sans le soutien logistique, financier et moral de ses partenaires précieux, qui ont permis les restitutions publiques en 2017 au sein de la Maison Centrale d’Arles malgré toutes les difficultés à surmonter : la Maison Centrale d’Arles, la compagnie Les Hommes Approximatifs, le Théâtre d'Arles - scène conventionnée art et création-nouvelles écritures, la Garance - Scène nationale de Cavaillon, Jean-Michel Grémillet, le SPIP 13, la Direction Interrégionale des Services Pénitentiaires PACA, la Direction et du personnel de la Maison Centrale, L’Équinoxe - Scène nationale de Châteauroux, le Printemps des Comédiens, la MC93 – Bobigny, le CNCDC de Châteauvallon - Scène nationale, La Coursive - Scène nationale de La Rochelle, le Théâtre Olympia - Centre dramatique national de Tours, Le Merlan - Scène nationale de Marseille, La Criée - Théâtre National de Marseille, le Théâtre de la Porte-Saint-Martin / Ce projet a été rendu possible grâce au soutien de la Fondation d’entreprise Hermès et de la Fondation E.C. ART POMARET

En savoir plus


Joël Pommerat est né en 1963 à Roanne. Il est auteur-metteur en scène, et a fondé la Compagnie Louis Brouillard en 1990. Joël Pommerat a la particularité de ne mettre en scène que ses propres textes. Selon lui, il n’y a pas de hiérarchie : la mise en scène et le texte s’élaborent en même temps pendant les répétitions. C’est pour cela qu’il se qualifie d’écrivain de spectacles. 

En 1995, il crée Pôles, premier texte artistiquement abouti à ses yeux. Avec la trilogie Au monde (2004) - premier grand succès public et critique - , D’une seule main (2005), Les Marchands (2006), Joël Pommerat ancre plus directement ses pièces dans la réalité contemporaine et l’interrogation de nos représentations. En 2006, Au monde, Les Marchands et Le Petit Chaperon rouge sont repris au Festival d’Avignon, où Joël Pommerat crée également Je tremble (1 et 2) en 2008. Il poursuit sa réécriture des contes avec Pinocchio en 2008 et Cendrillon en 2011. En 2010, il présente Cercles/Fictions au Théâtre des Bouffes du Nord dans un dispositif circulaire, qu’il explore à nouveau dans Ma Chambre froide l’année suivante. En 2013, il crée La Réunification des deux Corées, dans un espace bi-frontal. En 2015, il crée Ça ira (1) Fin de Louis, une fiction vraie inspirée de la Révolution française de 1789. En 2019, il crée Contes et légendes, une fiction documentaire d’anticipation sur la construction de soi à l’adolescence et le mythe de la créature artificielle. 

Depuis 2014, il mène des ateliers à la Maison Centrale d’Arles, avec des détenus de longue peine, dont sont issus les spectacles Amours (1), Amours (2) et Marius, d’après Marcel Pagnol.  

Joël Pommerat a reçu de nombreux prix pour son œuvre. Depuis 2014, il fait partie de l’association d’artistes de Nanterre-Amandiers. La Compagnie Louis Brouillard est également associée à la Coursive - Scène nationale de la Rochelle et au TNP de Villeurbanne. 

En savoir plus


Joël Pommerat est né en 1963 à Roanne. Il est auteur-metteur en scène, et a fondé la Compagnie Louis Brouillard en 1990. Joël Pommerat a la particularité de ne mettre en scène que ses propres textes. Selon lui, il n’y a pas de hiérarchie : la mise en scène et le texte s’élaborent en même temps pendant les répétitions. C’est pour cela qu’il se qualifie d’écrivain de spectacles. 

En 1995, il crée Pôles, premier texte artistiquement abouti à ses yeux. Avec la trilogie Au monde (2004) - premier grand succès public et critique - , D’une seule main (2005), Les Marchands (2006), Joël Pommerat ancre plus directement ses pièces dans la réalité contemporaine et l’interrogation de nos représentations. En 2006, Au monde, Les Marchands et Le Petit Chaperon rouge sont repris au Festival d’Avignon, où Joël Pommerat crée également Je tremble (1 et 2) en 2008. Il poursuit sa réécriture des contes avec Pinocchio en 2008 et Cendrillon en 2011. En 2010, il présente Cercles/Fictions au Théâtre des Bouffes du Nord dans un dispositif circulaire, qu’il explore à nouveau dans Ma Chambre froide l’année suivante. En 2013, il crée La Réunification des deux Corées, dans un espace bi-frontal. En 2015, il crée Ça ira (1) Fin de Louis, une fiction vraie inspirée de la Révolution française de 1789. En 2019, il crée Contes et légendes, une fiction documentaire d’anticipation sur la construction de soi à l’adolescence et le mythe de la créature artificielle. 

Depuis 2014, il mène des ateliers à la Maison Centrale d’Arles, avec des détenus de longue peine, dont sont issus les spectacles Amours (1), Amours (2) et Marius, d’après Marcel Pagnol.  

Joël Pommerat a reçu de nombreux prix pour son œuvre. Depuis 2014, il fait partie de l’association d’artistes de Nanterre-Amandiers. La Compagnie Louis Brouillard est également associée à la Coursive - Scène nationale de la Rochelle et au TNP de Villeurbanne. 



  • jeu. 12 décembre
    20H30
  • ven. 13 décembre
    20H30
  • sam. 14 décembre
    18H00
En partenariat avec La Halle culturelle La Merise – Ville de Trappes
Dans le cadre du Festival d'Automne 2024

Revue de presse

Autour du spectacle

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