la saison les spectacles

sam. 17 mai  20H30
durée 1h30

Résumé


Légende vivante de la musique angolaise, Bonga n’a rien perdu de son enthousiasme pour chanter le semba. Son immense carrière planétaire – 52 ans d’activité, plus de 400 chansons – s’enrichit d’un nouvel album fidèle à ce style inimitable qui mêle les rythmes traditionnels angolais aux musiques d’aujourd’hui. Suivez Bonga dans sa cour, ce carrefour propice aux rencontres les plus joyeuses !

Kintal da Banda – « esprit de cour » en créole angolais –, c’est cette intelligence collective qui émane de la cour de sa maison d’enfance, lieu de convivialité où se croisent toutes les générations, toutes les discussions. Celui qui n’a jamais cessé de faire vibrer le semba à travers le monde, fusion angolaise de rythmes anciens et de musique populaire, nous parle gastronomie, brousse, solitude bienfaitrice mais aussi actes de résistance au quotidien. Car Bonga, militant de l’indépendance angolaise, continue de lutter pour son pays à travers la joie véhiculée par la musique, armé de sa voix unique, puissante et râpeuse et de sa dikanza, cette percussion traditionnelle angolaise en bambou strié. Aussi inspirant qu’entraînant !

Bonga Kuenda et le semba – auquel l’artiste a offert une reconnaissance internationale – sont indissociables. Alors que la vie l’a mené d’Angola au Portugal, de Rotterdam à Paris et ailleurs, le chanteur est resté viscéralement attaché à ses racines et au semba donc, cette musique qui rythme toute la vie quotidienne de son pays d’origine. Plus de cinquante ans après son premier album révolutionnaire, Angola 72, le succès ne s’est jamais démenti pour Bonga qui ne semble pas près d’arrêter : "tant que des personnes malintentionnées – européennes, africaines, chinoises... - dirigeront la marche du monde, je prendrais le micro pour les contrer..."

Résumé


Légende vivante de la musique angolaise, Bonga n’a rien perdu de son enthousiasme pour chanter le semba. Son immense carrière planétaire – 52 ans d’activité, plus de 400 chansons – s’enrichit d’un nouvel album fidèle à ce style inimitable qui mêle les rythmes traditionnels angolais aux musiques d’aujourd’hui. Suivez Bonga dans sa cour, ce carrefour propice aux rencontres les plus joyeuses !

Kintal da Banda – « esprit de cour » en créole angolais –, c’est cette intelligence collective qui émane de la cour de sa maison d’enfance, lieu de convivialité où se croisent toutes les générations, toutes les discussions. Celui qui n’a jamais cessé de faire vibrer le semba à travers le monde, fusion angolaise de rythmes anciens et de musique populaire, nous parle gastronomie, brousse, solitude bienfaitrice mais aussi actes de résistance au quotidien. Car Bonga, militant de l’indépendance angolaise, continue de lutter pour son pays à travers la joie véhiculée par la musique, armé de sa voix unique, puissante et râpeuse et de sa dikanza, cette percussion traditionnelle angolaise en bambou strié. Aussi inspirant qu’entraînant !


Générique


Avec Bonga chant, Betinho FEIJO guitare, Hernani Pinto Lagrosse basse, Ciro Lopes accordéon, “Djipson” Estevao DA SILVA batterie

Production 3D Family

Générique


Avec Bonga chant, Betinho FEIJO guitare, Hernani Pinto Lagrosse basse, Ciro Lopes accordéon, “Djipson” Estevao DA SILVA batterie

Production 3D Family

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Figure de proue de la musique angolaise, géant de la musique africaine postcoloniale, Bonga incarne le semba depuis plus de cinquante ans. De Luanda à Rotterdam, de Paris à Lisbonne et partout ailleurs, il appartient à une caste de chanteurs africains ayant sublimé leurs racines tout en les ouvrant à d’autres sonorités : ses morceaux constituent d’habiles mélanges de musique populaire portugaise, de semba, kizomba agrémenté d'éléments africains, cap-verdiens, brésiliens. Immédiatement identifiable, grâce à une voix râpeuse et puissante, il saisit l’auditeur d’un bout à l’autre de l’écoute de n’importe lequel de ses albums. 

C’est pourtant sur la piste, loin de la musique, qu’il débute sa carrière : ses talents d’athlète lui valent d’aller au Portugal dans les années 1960, où il devient ironiquement champion national du 400m, alors qu’il s’engage en parallèle dans le Mouvement Populaire pour la Libération de l’Angola contre le régime de Salazar ! C’est en 1972 qu’il enregistre un premier album sobrement intitulé Angola 72. Ce disque fondamental devient rapidement une sorte de bande-son de la lutte d’indépendance angolaise, avec comme morceau phare l’emblématique « Mona Ki Ngi Xica », un lamento à la profondeur atlantique insondable. Infatigable, il parcourt depuis les scènes du monde entier et poursuit son impressionnante carrière discographique, riche de 32 albums studio.

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Figure de proue de la musique angolaise, géant de la musique africaine postcoloniale, Bonga incarne le semba depuis plus de cinquante ans. De Luanda à Rotterdam, de Paris à Lisbonne et partout ailleurs, il appartient à une caste de chanteurs africains ayant sublimé leurs racines tout en les ouvrant à d’autres sonorités : ses morceaux constituent d’habiles mélanges de musique populaire portugaise, de semba, kizomba agrémenté d'éléments africains, cap-verdiens, brésiliens. Immédiatement identifiable, grâce à une voix râpeuse et puissante, il saisit l’auditeur d’un bout à l’autre de l’écoute de n’importe lequel de ses albums. 

C’est pourtant sur la piste, loin de la musique, qu’il débute sa carrière : ses talents d’athlète lui valent d’aller au Portugal dans les années 1960, où il devient ironiquement champion national du 400m, alors qu’il s’engage en parallèle dans le Mouvement Populaire pour la Libération de l’Angola contre le régime de Salazar ! C’est en 1972 qu’il enregistre un premier album sobrement intitulé Angola 72. Ce disque fondamental devient rapidement une sorte de bande-son de la lutte d’indépendance angolaise, avec comme morceau phare l’emblématique « Mona Ki Ngi Xica », un lamento à la profondeur atlantique insondable. Infatigable, il parcourt depuis les scènes du monde entier et poursuit son impressionnante carrière discographique, riche de 32 albums studio.



  • sam. 17 mai
    20H30
En partenariat avec la Halle culturelle La Merise – Ville de Trappes

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