Sur une scène transformée en ring de boxe, dix danseurs ivoiriens enchaînent coupé-décalé, break dance, arts martiaux, acrobaties et danses traditionnelles africaines. Un spectacle au rythme endiablé !
Ils portent des costumes de maîtres Kung-fu, de motards ou de jet-setters en talons hauts. Le gong retentit, et la bataille commence, recréant l’atmosphère fiévreuse des rues d’Abidjan. Le chorégraphe ivoirien Massidi Adiatou s’entoure ici de jeunes danseurs repérés dans les quartiers populaires de la capitale. Rassemblé autour du ring, le public participe joyeusement à cette incroyable démonstration de frime dansante !
Avec ce spectacle haut en rythmes et en couleurs, Massidi Adiatou bouscule les codes de la danse contemporaine. Fidèle aux scènes que l’on peut apercevoir chaque jour dans les rues chaudes de la banlieue de Yopougon, Faro Faro mélange les genres, libère les corps, et fait la part belle à l’improvisation. Ensemble, ces 10 danseurs forment la compagnie N’Soleh, composée de « jeunes qui dansaient dans la rue, en Côte d’Ivoire, mais maintenant, c’est la danse de rue qui les fait vivre » affirme le chorégraphe. Une joute chorégraphique de haute volée, qui se double d’une déclaration d’amour aux danses urbaines.
Sur une scène transformée en ring de boxe, dix danseurs ivoiriens enchaînent coupé-décalé, break dance, arts martiaux, acrobaties et danses traditionnelles africaines. Un spectacle au rythme endiablé !
Ils portent des costumes de maîtres Kung-fu, de motards ou de jet-setters en talons hauts. Le gong retentit, et la bataille commence, recréant l’atmosphère fiévreuse des rues d’Abidjan. Le chorégraphe ivoirien Massidi Adiatou s’entoure ici de jeunes danseurs repérés dans les quartiers populaires de la capitale. Rassemblé autour du ring, le public participe joyeusement à cette incroyable démonstration de frime dansante !